Obligée de collaborer avec les chinois

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il y a 5 ans

Je m'appelle Hilge, j'ai 27 ans et je suis suédoise. Je suis dans l'avion à destination de Pékin, car j'ai choisi de passer un mois de vacances en Chine pour découvrir une partie de ce très grand pays en pleine mutation. Initialement, je devais être accompagnée par Anna, ma meilleure amie, mais celle ci est tombée dans la rue et s'est cassée la jambe quelques jours avant le départ. J'ai hésité à partir seule, mais finalement je m'y suis résolue ne sachant pas quand nous pourrions repartir pour un tel voyage.

L'avion vient d'atterrir, nous passons maintenant les formalités de douane. Les douaniers chinois sont très nombreux et semblent très tatillons. Je patiente avec les autres passagers de mon vol. Lorsque vient mon tour et à la lecture de mon passeport, le douanier passe un coup de fil et je vois apparaître deux autres douaniers qui me demandent de les suivre. Je suis un peu étonnée, mon visa étant à jour, mais je les suis de bonne grâce dans une pièce à l'intérieur de l'aéroport. Un des douaniers me fait asseoir et, vérifiant à nouveau mon passeport, m'indique en anglais qu'un membre du ministère de l'industrie souhaite me voir. Je suis toujours aussi étonnée, mais je patiente dans la pièce. Quelques minutes plus tard, un homme en costume cravate accompagné d'une femme en blouse blanche entrent dans la pièce. Ils s'assoient en face de moi pendant qu'un des douaniers revient dans la pièce avec ma valise à la main, il la dépose sur une table au fond de la pièce. L'homme en costume me demande :

  • Quelle est votre profession mademoiselle Everson ?

Je lui réponds que je suis ingénieur.

  • Pour quelle entreprise travaillez-vous ?

Je suis intriguée par ses questions, mais n'ayant rien à cacher et je lui réponds :

  • Motorola.

Il prend des notes contenues dans une chemise posée devant lui, puis il m'annonce tout de go :

  • Vos connaissances en ce qui concerne les téléphones portables intéressent au plus haut point nos ingénieurs, nous souhaiterions que vous ayez la possibilité de travailler avec nous.

Je suis très surprise par le tour que prend la discussion, moi qui m'attendais à une simple vérification de mon identité.

  • C'est impossible, je ne travaille que pour mon employeur, un contrat nous lie et je ne peux collaborer avec aucune autre entreprise ou organisme !

  • C'est fâcheux, répond sans sourciller le chinois.

Pendant ce temps, la femme en blouse qui ressemble à un médecin s'est levée et, ouvrant ma valise, commence à en détailler le contenu. Je l'observe de loin sans inquiétude, car je ne transporte absolument rien d'illégal dans mes bagages.

Le chinois revient à l'attaque et me dit qu'il me faut reconsidérer ma position, car je serai particulièrement bien payée si j'accepte de travailler quelques heures avec les ingénieurs de son ministère. Joignant le geste à la parole, il me tend un papier sur lequel figure le montant d'une somme importante en dollars. Je suis furieuse que ce chinois tente ainsi de me corrompre et je lui réponds qu'il n'en est pas question, quelle que soit la somme. La chinoise quant à elle reste concentrée sur ma valise et en sort tout d'abord mes sous-vêtements qu'elle dépose sur la table, puis ma trousse de toilette ainsi qu'un paquet de serviettes.

Devant la tournure que prennent les évènements, je demande à téléphoner à mon ambassade, ce qui m'est refusé sur-le-champ. Le chinois me fait maintenant des menaces à peines voilées en cas de non-coopérationn. Je ne cède pas et la tension monte dans la pièce. La chinoise, délaissant ma valise, revient vers nous et, en anglais elle aussi, indique à l'homme en cravate que ce n'est certainement pas à me menaçant que j'accepterais de travailler pour ses services. Le chinois se calme et me présente cette femme comme étant le docteur Li. Il se détend et m'indique que le docteur Li possède une méthode très efficace pour convaincre les étrangers à mieux considérer les offres du gouvernement chinois. Le sourire sur son visage ne me dit rien qui vaille.

Je prends les devants et indique que si on me touche je porterai plainte contre lui et qu'en cas d'absence ma famille alerterait les autorités suédoises.

  • Il n'est pas question d'atteindre à votre personne, mademoiselle Everson, nous ne sommes pas des barbares. Je vous invite à suivre le docteur Li, si vous changez d'avis concernant mon offre, faîtes-moi demander immédiatement.

La chinoise s'approche de moi et me prend par le bras, nous quittons la pièce escortées par deux policiers, dont un qui porte à nouveau ma valise. Nous suivons de longs couloirs et débouchons à l'arrière de l'aéroport où un fourgon nous attendant. Nous embarquons à l'arrière et le véhicule se met immédiatement en route. Aucun mot n'est échangé et j'imagine qu'il est inutile de demander où l'on m'emmène.

Le trajet dure une bonne demi-heure, sans que je puisse savoir où l'on va, car l'arrière du fourgon est dépourvu de fenêtres. Nous nous arrêtons finalement dans la cour d'un très grand bâtiment qui ressemble à un hôpital. Je suis prestement emmenée à l'intérieur. dans De hall, nous prenons un ascenseur et nous descendons au troisième sous-sol. Autant je n'ai pas eu peur dans l'aéroport, autant la situation commence maintenant à prendre une tournure vraiment inquiétante.

Nous avançons dans un long couloir et croisons plusieurs femmes en blouses blanches qui semblent être des infirmières. Nous arrivons finalement dans un vaste bureau. La chinoise me fait asseoir, passe derrière le bureau et congédie les deux policiers d'un geste autoritaire. L'un d'eux laisse néanmoins ma valise posée sur le bureau, entre la chinoise et moi. La chinoise ouvre à nouveau ma valise et détaille mes dessous.

  • Très joli, fait-elle.

Elle se rassoit, écarte la valise et se tourne vers moi.

  • Vous avez eu tort de ne pas vouloir coopérer avec nous, me fait-elle, mais je suis sûre que vous changerez vite d'avis. J'ai mis au point un petit programme spécial pour les étrangers et les étrangères qui comme vous possèdent des connaissances qui seront très utiles à notre industrie. Je vais vous le présenter et je suis persuadée que cela vous fera réfléchir.

Plus de doutes je suis dans une situation très fâcheuse, et la réputation du régime chinois me fait craindre les pires t o r t u r e s si je ne cède pas. Quelle idée j'ai eu de vouloir visiter ce pays ! La chinoise appuie sur une sonnette et deux infirmières apparaissent dans la pièce. Le docteur Li et se lève et me demande de la suivre. Je m'exécute suivie de près par les deux infirmières.

Au bout d'un long couloir, nous entrons dans une grande pièce plongée dans l'obscurité. Le docteur Li tourne un bouton qui augmente la lumière et je suis saisie par le spectacle offert à mes yeux. Dans la pièce se trouve alignés huit lits sur lesquels sont attachées des jeunes femmes. Augmentant la lumière, le docteur Li me permet de mieux voir et je découvre stupéfaite que ces femmes ont les yeux bandés, qu'un bâillon boule leur barre le visage et surtout que sous leur chemise de nuit quelque chose forme une sorte de bosse à l'entrejambe. Le docteur Li s'approche d'une des jeunes femmes et retrousse sa chemise de nuit pour faire apparaître une épaisse couche-culotte.

A leur couleur de peaux et à celle de leurs cheveux, je comprends qu'il ne s'agit vraisemblablement pas de chinoises, mais plutôt d'occidentales. Certaines semblent dormir, d'autres tentent de bouger leurs bras et leurs jambes solidement attachées, leurs paroles ne sont que de faibles grognements étouffés par les baillons. Une odeur d'urine faible mais perceptible semble indiquer que certaines femmes ont mouillé leur couche. Je suis pétrifiée par ce spectacle, mais rapidement le docteur Li baisse à nouveau la lumière et les deux infirmières m'entraînent vers la sortie.

Je suis rapidement escortée vers une grande chambre avec un grand lit, une table et plusieurs chaises. On me demande de m'asseoir sur le lit, les deux infirmières restent au fond de la chambre, de part et d'autre de la porte, puis le docteur Li s'assoit sur une chaise en face de moi.

  • Ce que vous avez vu, mademoiselle Everson, se sont des jeunes femmes qui suivent mon fameux programme, car elles refusent comme vous de coopérer avec le gouvernement chinois. Le principe est extrêmement simple, il consiste à rendre la personne incontinente en la maintenant en couche 24 heures sur 24, tout en lui administrant un traitement de ma composition à base de diurétiques et de relaxants, couplés à des sédatifs légers. Une semaine de ce programme suffit à vous rendre incontinente la nuit, deux semaines et vous perdez le contrôle au moins de votre vessie, non seulement la nuit mais également le jour. Si l'on continue, le risque est réel d'être définitivement incontinente sans espoir de retrouver un jour la maîtrise de soi. Votre voyage en Chine est prévu pour quatre semaines, nous avons largement le temps de s'occuper de vous.

Je suis effrayée par ses paroles et je me demande ce que je peux faire dans cette situation. Impossible de trahir les secrets de mon entreprise, car je risque non seulement de perdre mon job mais encore de devoir en répondre devant la justice suédoise. Impossible non plus de m'échapper, car même si j'arrivais à franchir les portes de cet hôpital, j'ignore où je me trouve et les policiers auraient vite fait de me repérer et de m'attr a p e r. Le docteur Li, me voyant réfléchir, me donne deux heures pour choisir et revenir sur ma décision de ne pas coopérer avec les ingénieurs chinois. Elle quitte la pièce en compagnie des deux infirmières.

Enfin seule, je fais le tour de la chambre sans grand espoir de trouver une issue. Ouvrant le large placard, je découvre des rayonnages entiers de couche- culottes, de couches droites et de culottes plastiques de taille adulte portant des caractères chinois que je ne sais pas lire. A part cela, je ne trouve rien d'autre. Je m'allonge sur le lit, fatiguée par le voyage, le décalage horaire et les émotions de ses évènements imprévus.

Réfléchissant enfin posément, je me dis que n'ayant pas l'habitude de laisser ma famille sans nouvelles, celle-ci devrait vite s'inquiéter de mon sort et rapidement alerter les autorités suédoises. Il me faut donc tenir quelques jours tout au plus avant que sous la pression les autorités chinoises ne soient dans l'obligation de me relâcher. Hors de question de livrer des informations professionnelles à ses tricheurs de chinois.

Comme annoncé, le docteur Li est de retour deux heures plus tard, cette fois-ci accompagnée de non plus deux mais quatre infirmières. Elle me demande ma décision et, devant mon refus, m'indique qu'elle est dans l'obligation de commencer le programme.

  • Vous avez deux solutions me dit-elle, soit vous vous laissez faire et tout se passera pour le mieux, soit vous résistez, ce qui ne servira à rien car de gré ou de f o r c e nous vous mettrons en couches.

J'hésite un instant, mais que puis-je faire seule contre cinq. Les infirmières viennent déjà vers moi et je décide de ne pas rendre les choses plus désagréables. Mon pull est prestement enlevé, mon chemisier déboutonné et défait pendant qu'une infirmière me descend mon pantalon. Je suis maintenant uniquement vêtue de mes sous-vêtements devant ces quatre jeunes chinoises, je ne leur donne pas plus de vingt ans, et le docteur Li, une femme d'une trentaine d'année.

Elles marquent une pose et le docteur Li tourne autour de moi me détaillant sous toutes les coutures. Je me demande ce qu'elle observe ainsi, à moins que se ne soit la première fois qu'elle ne voit une européenne nordique. Comme de nombreuses suédoises, je suis grande, 1m82, blonde aux cheveux longs, yeux bleus. D'un signe, les infirmières reprennent leur travail, mon soutien-gorge est ôté et le docteur Li sourie lorsque ma culotte baissée laisse apparaître une serviette que je porte, car j'ai mes règles. Elle ne fait pas plus de commentaire. Les infirmières se saisissent de moi et m'allongent sur le lit, attachant mes poignets et mes chevilles aux montants du lit.

Je suis à présent nue, offerte au regard de ces cinq chinoises impassibles.

L'une des infirmières revient vers moi avec une bassine d'eau tiède, elle m'humidifie le pubis et rase rapidement les poils blonds cachant le haut de mon sexe. Une deuxième prend sa place devant mes jambes maintenues écartées, me fait signe de soulever les fesses et me glisse une épaisse couche-culotte sous le derrière. Elle la referme avec des gestes précis et fixe les adhésifs pour la maintenir bien en place. La double sensation de mon pubis rasé et du contact de la garniture de la couche est très étrange. Pendant que je réalise la situation, les mains sont détachées et les infirmières m'assoient sur le lit les pieds toujours attachés.

Je lève les bras et elles m'enfilent une chemise de nuit blanche à manches courtes, chemise de nuit juste assez longue pour couvrir la couche. L'infirmière qui est dans mon dos présente maintenant devant ma bouche un bâillon boule identique à ceux que j'ai vu sur les autres jeunes femmes et le place dans ma bouche, avant de le fixer derrière ma tête. L'opération terminée, elles me rattachent finalement les mains.

Une fois rattachée je teste mes liens qui me laissent que peu de mouvements possibles. Une infirmière amène près du lit une potence sur laquelle est fixée une bouteille en verre contenant un bon litre d'un liquide de couleur blanchâtre. La bouteille se termine par un tuyau souple muni sur le haut d'un robinet dont l'extrémité est rapidement fixée par l'infirmière sur la boule de mon bâillon. Je n'avais pas remarqué que celui-ci est évidé et surmonté d'un embout permettant de fixer ce type de tuyau. Le docteur Li qui surveille les opérations intervient et m'indique que le flacon contient la fameuse formule qu'elle a mise au point et qui va permettre de me rendre rapidement incontinente.

  • Comme il n'est pas question de rendre votre séjour chez nous inconfortable, mademoiselle Everson, votre couche sera changée toutes les quatre heures. Je vous donne rendez-vous dans une semaine pour faire le point, mais je veux cependant vous donner une dernière chance de coopérer, si vous y êtes disposée, il vous suffit de cligner deux fois des yeux.

Je suis dans une sale situation, mais persuadée de m'en sortir à temps, je la regarde fixement. Devant mon refus, le docteur Li ouvre le robinet de la potence pendant qu'une infirmière fixe un masque sur mes yeux du type de celui que j'utilisais encore il y a quelques heures dans l'avion pour dormir.

Je ne vois maintenant plus rien mais je sens que les cinq chinoises n'ont pas encore quitté la pièce. Il ne faut que quelques secondes pour que je sente tomber dans ma bouche les premières gouttes du liquide blanchâtre. Impossible de fermer la bouche à cause de ce maudit bâillon et me voici rapidement obligée d'avaler ce liquide qui s'accumule dans ma bouche. Je tire à nouveau fortement sur les mes bras et mes jambes mais rien à faire. Je n'entends que le bruit de plastique de ma couche dus aux mouvements de mes jambes. Les heures risquent d'être longues ainsi attachée sur ce lit sans repères de temps et dans l'obscurité.

Au bout de ce qui me paraît être une éternité, la bouteille est vide, car le liquide ne me coule plus dans la bouche. J'ai cependant soif car cette potion est épaisse et légèrement sucrée. Mon attention est attirée par du bruit, une personne est rentrée dans la pièce. Je sens une présence qui détache le tuyau de mon bâillon pour en remettre un autre à nouveau, puis une main se pose sur le devant de ma couche comme pour déceler si celle-ci est déjà mouillée. La personne quitte la pièce, j'entends la porte se refermer et au même moment de l'eau commence à couler dans ma bouche. Cela me fait du bien, moi qui avais soif.

Ce que je ne réalise pas tout de suite, c'est la quantité d'eau que je vais devoir avaler. Il me semble que c'est un tonneau que l'on me f o r c e à boire et je panique à l'idée de me noyer tant l'eau arrive abondamment dans ma bouche. J'ai maintenant mal au ventre tellement j'ai bu d'eau, heureusement le flux s'arrête.

Je n'ai toujours pas de notion du temps qui passe, mais rapidement c'est ma vessie qui se met en pression et je sens très vite que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. On entre à nouveau dans ma chambre et j'entends plusieurs personnes qui s'approchent du lit. J'en conclus que le docteur Li vient voir les résultats combinés de sa formule avec l'énorme quantité d'eau que je viens de boire. Je ne veux pas leur donner la joie de ce spectacle et je comprime ma vessie de toutes mes f o r c e s. Je me tords tant que je peux. La pression est rapidement insupportable et me relâchant, un flot d'urine afflue dans ma couche. Je me sens humiliée, mais aussi très soulagée. Une main vient à nouveau se poser sur ma couche, maintenant chaude et lourde. J'entends la voix du docteur Li :

  • Félicitations, mademoiselle Everson, c'est un beau début.

Des mains s'activent maintenant sur ma couche, qui est rapidement enlevée. Je sens que l'on passe une sorte de lingette sur mon entre-jambe puis de la crème que l'on fait pénétrer. Enfin une nouvelle couche, plus épaisse encore que la précédente me couvre à nouveau les fesses. Le docteur Li ajoute :

  • Nous vous mettons une couche plus épaisse, car j'espère bien que vous ferez également popo dans votre couche dès ce soir.

Cette seule pensée me dégoûte, mais il faudra aussi en passer par-là. C'est maintenant une mixture semi-épaisse à base de céréales qui je suis obligée de manger, puis de l'eau à nouveau. Enfin je trouve le sommeil.

Je suis réveillée, toujours sans notion du temps qui s'écoule, car ma vessie est à nouveau douloureuse. Je ne me retiens pas, sachant que c'est inutile puis je me rendors. Je suis réveillée par des mains qui détachent ma couche et me changent à nouveau. Je voudrai parler mais le bâillon m'en empêche et la personne qui s'occupe de moi ne dit pas un mot. Dans cette situation et étant constamment attachée, je n'ai aucune chance de m'évader ! Je sombre à nouveau dans un profond sommeil. A mon réveil c'est la grosse commission ! Impossible de me retenir plus longtemps et je suis pétrifiée lorsque je sens des e x c r é m e n t s assez liquides se répandre dans ma couche et s'étaler sous mes fesses. Je suis à nouveau changée et ainsi de suite.

J'essais de me concentrer pour surtout ne pas faire dans ma couche sans m'en rendre compte. J'y parviens dans un premier temps et cela me rassure, persuadée que le temps jouera pour moi. Rapidement je dois déchanter, car dorénavant je ne contrôle plus ma vessie durant mes périodes de sommeil et je me réveille quasiment systématiquement mouillée. Je suis très inquiète par la tournure que prennent les évènements, mais je suis impuissante à changer quoi que se soit, et toujours pas de contact du monde extérieur. Je me raccroche à l'idée que mes parents doivent déjà s'inquiéter de ne pas recevoir de mes nouvelles.

Après une période que je ne saurai pas évaluer, on me retire enfin mon masque et mon bâillon. Il me faut plusieurs minutes pour que mes yeux se réhabituent à la lumière et je distingue maintenant le docteur Li qui est à mon chevet, accompagnée de deux infirmières.

  • Vous n'avez pas résisté longtemps, attaque cette dernière, vous êtes maintenant incontinente nocturne, mademoiselle Everson. J'ai cependant une bonne nouvelle, c'est aujourd'hui pour vous la visite médicale. Notre gouvernement tient beaucoup à la santé des personnes qui sont amenées à travailler avec nous.

Les deux infirmières me détachent du lit et j'ai un mal fou à bouger mes bras et mes jambes, ankylosés par une trop longue immobilisation. Elles me retirent ma chemise de nuit et me passent un tee-shirt assez moulant qui moule ma poitrine, ainsi qu'un caleçon long lui aussi très près du corps qui épouse les formes de ma couche sur mes fesses, puis des chaussettes courtes et blanches. Elles m'aident à descendre du lit et me soutiennent pour quitter la chambre à la suite du docteur Li.

Nous arrivons dans un cabinet de consultation où se trouve un homme, vêtu d'une blouse blanche de médecin. Il prend ce qui semble être mon dossier, car je lis mon nom sur la pochette. Je suis maintenant assise en face de lui et réponds, toujours en anglais, à ces questions. Cela ressemble à une visite médicale classique avec les questions d'usages. Il demande ensuite à ce que je m'allonge sur le lit de consultation. Les deux infirmières m'aident car j'ai encore du mal à me mouvoir. Le docteur s'approche, relève mon tee-shirt et me palpe le ventre, il remonte un peu plus le tee-shirt, découvrant ma poitrine et palpe également longuement chaque sein.

Sans redescendre le tee-shirt, il descend le caleçon et demande à une des deux infirmières de venir me retirer ma couche. Celle-ci s'exécute rapidement et je suis maintenant nue devant ce médecin chinois, qui retire définitivement le caleçon resté sur mes chevilles. Il m'écarte les jambes, met un gant de latex et entreprend un touché vaginal. Je ne peux empêcher de laisser échapper un petit gémissement lorsque les doigts du médecin pénètrent profondément dans mon vagin. Cette situation, d'ordinaire déjà inconfortable, est d'autant plus humiliante devant ces chinoises qui assistent à la scène.

Le médecin ayant terminé, on me remet une nouvelle couche, je me rajuste et nous ressortons du cabinet pour un retour dans la chambre. Je suis rattachée sur le lit et les infirmières sorties, le docteur Li s'approche de moi.

  • Êtes-vous prête à coopérer maintenant ? me demande-t-elle.

  • Il n'en est pas question, lui répondis-je.

  • Dans ce cas, vous souhaitez peut-être avoir des nouvelles de vos parents ?

A ma grande surprise, elle me détache les mains ce qui me permet une position assise dans le lit puis elle me tend une feuille de papier. Il s'agit de l'impression d'un mail provenant de mes parents restés chez eux en Suède. Ils me remercient pour les nouvelles et me souhaitent une bonne continuation de vacances. Je suis surprise, mais le docteur Li me donne aussitôt une autre feuille où je lis un mail que je suis sensée avoir adressé de Chine à mes parents. Dans ce mail, je donne des nouvelles et indique que là où je suis je ne peux malheureusement pas leur téléphoner. Je suis folle de rage et je réalise qu'avec ces faux, je ne suis pas prête de recevoir du secours. Le docteur Li s'amuse de ma réaction et le programme reprend de plus belle.

Il faut se rendre à l'évidence, au bout d'un temps toujours indéterminé, je suis maintenant incontinente nocturne et diurne, incapable de maîtriser ma vessie et surprise de me sentir mouiller ma couche sans m'en rendre compte. Les D r o g u e s du docteur Li fonctionnent parfaitement. Devant cette situation sans espoir, j'accepte finalement de coopérer, la m o r t dans l'âme.

Le docteur Li me fixe rapidement les règles du jeu. Je pourrai vivre désormais normalement dans mes vêtements et libre de mes mouvements, mais enfermée dans ma chambre. Je continuerai à porter des couches que l'on me changera à ma demande, mais sans les D r o g u e s ce qui me permettra de retrouver mes sensations et le contrôle de mes flux en une dizaine de jours. La matinée sera consacrée à répondre aux questions des ingénieurs télécom et l'après-midi à visionner des vidéos des sites chinois que j'étais sensée découvrir pendant mon séjour.

N'ayant pas d'autres choix que d'obéir, je me résigne, vexée cependant de devoir continuer à porter ces maudites couche-culottes.

Le matin, les ingénieurs qui me visitent voient parfaitement ma couche sous mes jupes trop courtes pour la masquer. Impossible de mettre mes pantalons, car la couche est trop épaisse. Comble de l'humiliation, on me change régulièrement ma couche sur mon lit en leur présence. Ils semblent beaucoup apprécier de voir cette grande jeune femme blonde et belle se faire mettre une couche par de très jeunes chinoises qui ressemblent encore à des a d o l e s c e n t es. Je suis cependant soulagée de constater que je n'utilise ma couche que lorsque je le veux. Le docteur Li m'annonce finalement que mon séjour en Chine prendra fin demain et que mon avion est réservé à 20h00.

Le lendemain, je quitte effectivement le centre par le même fourgon qui m'a amenée, mais je porte toujours une épaisse couche sous ma jupe. Ils ne vont tout de même pas me remettre dans l'avion en couche ! Je m'attends à tout mais lorsque nous arrivons à l'aéroport, je me retrouve seule avec le docteur Li dans une vaste pièce où se trouve ma valise. Elle me laisse cinq minutes pour me changer et je peux enfin défaire ma couche et enfiler une petite culotte. J'ai perdu l'habitude de porter une culotte et je ne retrouve pas immédiatement mes sensations car j'ai toujours le pubis rasé de près. Elle me remet enfin un petit bagage à main et me souhaite un bon retour. Je la fusille du regard avant de pénétrer dans la salle d'embarquement.

Une fois dans l'avion, j'ouvre le sac pour découvrir son contenu. Je découvre quelques couche-culottes identiques à celles que j'ai utilisé pendant mon séjour, un CD-Rom et un petit mot. Je lis rapidement le mot du docteur Li qui me dit que les couches sont là en cas de rechute et m'invite à visionner seule le CD. Etant curieusement en première classe et disposant d'espace et de mon ordinateur portable, j'ouvre le CD et inquiète découvre plusieurs fichiers vidéos sans titres. Je lance le premier et découvre avec stupeur que l'on me voit nue et allongée sur mon lit, des mains anonymes me mettant une couche puis un caleçon, pendant que j'enfile un sweat. Les autres vidéos me présentent en compagnie des ingénieurs chinois entrain de travailler, ma couche bien visible sous mes vêtements.

Toutes les vidéos ont un point commun, elles me présentent en couche et manifestement consentante, sur aucune d'entre-elles je ne résiste ni semble être f o r c é e de porter ces couches. En analysant les angles de vues, je comprends que des caméras étaient positionnées dans de fausse lampes au plafond et derrières des glaces sans tain. Avec de tels documents entre les mains des chinois, il me sera difficile de porter plainte ou même de raconter ce qui m'est arrivée. Ce CD est un message on ne peut plus clair.

Je repense tout à coup aux autres jeunes femmes que j'ai aperçues le premier jour et je me demande, glacée d'effroi, combien de personnes ont été et seront victimes de cette nouvelle forme d'extorsion d'informations économiques de la part des autorités chinoises.

Fin

Evlease

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